Qui suis-je ?
Je suis diplômé d’état en tant que masseur Kinésithérapeute depuis 1982. Pour gagner en efficacité dans le traitement de mes patients j’ai souhaité compléter mon cursus par une formation d’ostéopathe.
Dans un souci de performance constante, je me suis ensuite intéressé aux techniques de la kinésiologie.
La kinésiologie a été inventée dans les années 1960 aux Etats-Unis par le Dr Goodheart. Afin de prévenir ou soigner certains troubles, il conçoit alors des tests musculaires manuels destinés à détecter les muscles faibles. Identifier une faiblesse musculaire spécifique et la corriger permettraient de supprimer un déséquilibre physique ou mental. La kinésiologie est un pont entre l’ostéopathie et la médecine chinoise.
Je me suis ensuite formé au shiatsu, domaine pour lequel je suis également formateur.
Pour compléter mes connaissances en médecine chinoise je me suis formé en naturopathie et en acuponcture. j’ai également étudié l’auriculothérapie, la sympathicothérapie et la géobiologie.
Ma vision de mon métier.
Un individu peut être observé sous différents angles qui, combinés entre eux, constituent notre unicité. Les trois principaux forment : « LE TRIANGLE DE LA SANTÉ », où les aspects: structurels, émotionnels et énergétiques œuvrent de concert.
Chaque côté de ce triangle de santé est interconnecté. Il suffit qu’un des axes soit perturbé pour que les deux autres en pâtissent et que l’édifice tout entier se fragilise.
Le triangle de la santé nous propose un regard éclairé sur nos besoins du moment. Des protocoles spécifiques permettront de déterminer la composante sur laquelle il faudra agir. Il nous permettra d’identifier ensuite la ou les techniques libératrices à utiliser.
Pour exemple, un problème structurel peut correspondre à une vertèbre bloquée, un problème émotionnel peut être lié à du stress et un problème énergétique viendrait d’un méridien d’acuponcture à traiter, d’une mauvaise alimentation… etc.
Et les animaux dans tout ça ?
En parallèle j’ai étudié l’ostéopathie équine puis l’ostéopathie canine. Ces formations spécifiques m’ont permis de parfaitement appréhender l’anatomie des animaux et de faire le parallèle avec toutes mes connaissances sur les humains.
Suivant les concepts de l’ostéopathie humaine, un nouveau champ d’application s’étend pour nos amis les chiens et les chevaux. Les chevaux et les chiens sont les animaux sur lesquels les techniques ostéopathiques sont les plus utilisées.
Je me suis également formé en éthologie équine. Cette science du comportement étudie les chevaux, aussi bien en milieu naturel qu’en milieu non-naturel et également le comportement du cheval en rapport avec l’être humain.
Les animaux ont leur manière à eux d’exprimer leur souffrance
– comportement inhabituel,
– gémissements,
– boiterie,
– douleurs de colonne vertébrale (torticolis, sciatique…)
– léchage d’une articulation douloureuse chez le chien,
– chevaux qui ne se laissent pas seller facilement, qui ruent régulièrement ou qui ne donnent que difficilement les pieds
– perte d’appétit, refus d’obéissance …
Tous ces signes devront attirer votre attention.
– Pour des problèmes locomoteurs : boiterie chronique ou aiguë, dissymétrie…
– Pour un traumatisme : chute, accident de voiture, de chasse, ou au travail…
– Pour des difficultés au travail : développement musculaire…
– Pour des problèmes organiques : gastrites chroniques, vomissements, manque d’appétit, diarrhées ou constipation répétitives.
– Pour des problèmes du système reproducteur : stérilité, chaleurs irrégulières ou absentes, des mises bas difficiles ou très longues, des spermogrammes défectueux, des infections urinaires chroniques ou des vaginites chroniques…
– Pour des problèmes respiratoires répétitifs : récupération difficile, essoufflement rapide…
– Pour le suivi d’un animal de compétition : optimiser sa préparation, ses performances.
– Pour les animaux de travail, d’utilité : les animaux qui peuvent bénéficier d’une visite ostéopathique régulière seront réformés plus tardivement que ceux n’ayant pu être suivis.
– Pour des problèmes de comportements : nervosité excessive…
– Pour le suivi gériatrique : améliorer leur confort.
– Lorsque l’animal présente des pathologies récidivantes que la médecine allopathique ne peut résoudre.